∂ Arrivé(e) a Storybrooke le : 30/06/2014 ∂ Des pommes, j'en ai envoyé : 464 ∂ Je ressemble à : Jennifer Morrison ∂ My fairy tale : Plus ou moins Blanche Neige et les 7 nains ∂ Mon personnage de conte de fée c'est : ∂ True love :
My walls were up but you brought them down, you brought me home. True love isn't easy, but once you find it it can never be replaced. I was afraid, a real enemy of love, but I trust you know. Come back to me. Cause you all I want, you all I need, you're everything. My walls were up but you brought them down.
My Fairy Tale Mes amis, mes amours, mes emmerdes: Inventaire Magique : Je suis : Présent(e)
Sujet: Never loosing hope - Pv Callypso Mar 5 Aoû - 16:58
Emma ∞ Callypso
Never loosing hope
L a plage de Storybrooke n’est pas très réputée, mais au moins on est en contact direct avec l’océan, et même si il neigeait à gros flocons cet après midi, j’avais été tentée de faire une longue balade sur la plage après que Henry ait préféré aller avec Killian pour ce que Henry appelait une virée entre pirates… Rien de bon qui vaille. Quoi qu’il en soit, je me retrouvais seule, ma mère pouponnant Neal et mon père m’avait forcé à prendre une journée de repos. Personne ne souhaitait sortir avec ce foutu temps, pas même grincheux, qui normalement avait le nez dehors à toute épreuve. Eliott m’avait parlé de blizzard, faites qu’il se soit trompé, personne n’aime la neige à gros flocons, encore moisn quand il fait moins dix en plein mois de juillet…
Mais pour une fois, j’avais besoin de m’aérer l’esprit, de me changer les idées, et surtout de faire une pause, David avait raison… Et je ne supportais pas restée enfermée entre quatres murs trop longtemps. Armée de ma doudoune et de mes bottes en cuir, je marchais sur la plage, laissant mon esprit divaguer, quand soudain j’apperçu une silhouette non loin de moi., assise sur la plage, le regard tourné vers moi. Je me dirigeais vers elle, après tout, un peu de compagnie ne me ferait certainement pas de mal et remarquais au loin qu’il s’agissait d’Ariel, enfin de Callypso à Storybrooke. Je lui fit signe de loin, et la rejoignit bientôt, un sourire aux lèvres… Ariel était muette, faute à la sorcière des mers, vous connaissez surement Ursula ? Parfait, je n’ai pas besoin de vous faire un dessin… Et malheureusement, Ariel n’avait toujours pas retrouvé sa voix et se retrouvait dans notre monde, sans pouvoir s’exprimer, sa propre malédiction si vous voulez mon avis… je m’asseyais en tailleur à coté d’elle, sur le sable trempé, mais après tout, ce n’était pas un peu de neige qui allait m’arrêter. « Callypso, je suis contente de voir qu’une autre personne ne peux pas s’empêcher de sortir par un temps pareil… « Je souriais, me passant la main dans les cheveux avant de détourner un moment le regard vers l’océan. « L’océan te manque ? Ne t’en fais pas, un jour nous parviendrons à te faire retrouver la voix. » Dès notre rencontre, je m’étais prise de compassion pour l’ancienne sirène, par amour elle avait sacrifié sa voix, et la sorcière s’était jouée d’elle, et je lui avais promis, qu’un jour ou l’autre, justice serait faite. Foi d’Emma Swan.
De la neige au mois de Juillet. Ce n'était pas normal. C'est ce que l'humaine en moi se disait. Il y avait un problème, quelque chose de pas normal, quelque chose de magique derrière tout ça. Mais la sirène en moi, se demandait pourquoi cela inquiétait tout le monde. Ce n'était que de la neige. Pourquoi s'inquiétait-il tous de cela. Peut-être que c'était juste un simple sort qui avait mal tourné et que tout cela allait se régler d'ici peu de temps. D'accord, cela faisait un moment que ce début d'hiver en plein été avait commencé. Et qu'en plus de ça, la température ne voulait pas augmenter - même si ce n'était que très légèrement - pour redevenir normal. Non, on gardait ces températures hivernales. Et malgré ce temps, je m'étais décidée de faire un tour en ville. Je ne travaillais pas aujourd'hui. Et si c'était pour rester au restaurant et voir Eric rester près de cette sorcière, c'était tout simplement hors de question. Alors, je me suis échappée le plus vite possible. Errant dans la ville, je marchais sans vraiment but précis. Les personnes se trouvant dans la rue me trouvaient sans doute folle. Je n'avais aucun manteau et ma robe était plus fait pour l'été - saison à laquelle normalement on devait se trouver - que d'hiver. Mais je m'en fichais. A vrai dire, cela m'arrangeait. Avec ce froid, je ressentais moins la douleur dans mes jambes. Cela était beaucoup plus supportable. Après quelques minutes de marche, je faisais face à l'océan. Cet océan qui me manquait. A chaque fois que je passais par la plage, je me demandais si ma famille avait été touchée par la malédiction et s'ils se trouvaient à Storybrooke. A la levée de la première malédiction, je m'étais mise à les rechercher. Avec un peu de chance, ils étaient là. Et bien vite, je me suis rendue à l'évidence que non, ils n'avaient pas été touché et qu'ils devaient continuer de vivre leur vie sous l'océan. Je me dirigeais vers la plage, marchant sur ce sable qui commençait à être recouvert de neige. Je me rapprochais de plus en plus de l'eau. Enlevant mes chaussures, je pouvais sentir la froideur du sable et de la neige sous mes pieds. Je me rapprochais de l'eau, commençant même à y entrer. Elle était froide. Beaucoup trop froide. Je m'étais reculée d'un seul coup, m'éloignant le plus possible de cet endroit qui était avant ma maison. Je m'étais assise sur le sable, regardant l'horizon, complètement perdue dans mes pensées. « Callypso, je suis contente de voir qu'une autre personne ne peux pas s'empêcher de sortir par un temps pareil... » Je regardais à côté de moi. Un léger sourire se dessina sur mon visage. C'est vrai qu'avec ce temps, il n'y avait peu de personnes dans les rues de la ville. Préférant rester chez eux, bien au chaud. « L'océan te manque ? Ne t'en fais pas, un jour nous parviendrons à te faire retrouver la voix. » Un léger soupir s'échappe de ma bouche avant de hocher légèrement la tête pour répondre à sa première question. L'océan. Ma voix. Tout cela me manquait terriblement. Dès fois, je me demandais si je n'avais pas fait une grossière erreur en faisant ce marché. Mon père devait me détester pour avoir en quelque sorte trahie les miens. Et ma grand-mère devait être plus que déçu. Elle m'avait dit que de mauvaises choses arrivaient aux sirènes qui allaient voir cette sorcière. Elle avait raison. Je pris le sac à côté de moi pour y sortir un carnet et un stylo. C'était l'une des manières que j'utilisais pour pouvoir m'exprimer. Après tout, tout le monde ne savait et ne comprenait pas le langage des signes. Je commençais à écrire quelques choses et de le lui montrer par la suite. Il y a du nouveau par rapport à ce changement climatique ?