Je me nomme Morgane, avant de vous compter mon histoire, je me dois de vous compter celle de mon mentor. Cela risque d’être long, alors prenez un bon café et quelques gâteau, j’ai fait des cupcakes.Partie 1 : La fée Viviane.La fée Viviane, aussi appelé Dame du Lac à elle-même été formé par Merlin, un enchanteur très célèbre dont vous avez du entendre parler. Car même le paysan de la contré la plus perdu connais son nom.
Viviane vivait dans une forêt, recluse de toute civilisation. C’est elle qui à enlever Lancelot et l’a formé quand il n’était encore qu’un enfant. Viviane enseigna les arts et les lettres à Lancelot, lui insufflant sagesse et courage, faisant de lui un chevalier accompli. Elle le mena alors à la cour d'Arthur, à Camelot, pour y être adoubé, et le présenta aux chevaliers de la Table Ronde, dont il devint le plus célèbre représentant et ami le plus proche de mon cher frère.
Viviane a eu une histoire particulière avec Merlin qui était tombé sous son charme. Ainsi il lui apprit tous ce qu’il savait sur la magie. Faisant d’elle une sorcière particulièrement puissante. Leurs amour perdura quelque temps, mais un jour vins le temps de la trahison, mon mentor fit disparaitre Merlin par le biais d’une magie très puissante, plus personne n’entendis parler de lui durant de longue années.
Ce ne fut pas simple de convaincre l’enchanteresse de me prendre sous son aile quelques années le temps de pouvoir retourné à Camelot. Plusieurs mois durant je bataillais pour gagner le respect de l‘enchanteresse et finis par obtenir gain de cause. Elle-même anciennement apprentis du renommée Merlin, elle m’apporta très vite des connaissances que l’enchanteur n’avais pas pu –ou pas voulu- m’enseigner. Pour autant je ne cessais de garder un œil lointain sur mon petit frère tandis que ma grande sœur Morgause visais le trône.
Aussi naquis entre nous –Viviane et moi- une relation très proche. Quand j’étais avec celle qui était devenue ma mère de substitution seule comptait l’ancienne religion et ses préceptes que je respectais à la lettre. Priant la déesse qui pour moi représentais déjà la protectrice que j’avais choisi et le dieu cornu qui venais compléter mes croyance en l’ancienne religion.
Mes années avec Viviane furent une période mémorable, sans doute l’une des plus heureuses de mon existence. Et pourtant je suis sacrément vielle si l’ont ce cale sur ce monde. Disons que cette période doit être l’équivalent de deux ans ici. Entre mes quinze et mes dix-huit ans en fait.
Cette période fus aussi la plus seine de ma vie, Viviane me perfectionna dans l’art de la magie blanche surtout et le maniement des plantes et potions de toutes sorte. La magie noire elle, ne fus que très peu évoquer alors pour en apprendre plus à ce sujet également je farfouillais dans les vieux grimoires de mon mentor quand elle était à la cueillette ou à prier la déesse ou encore vaguer à ses occupation avec son fils adoptif qui était devenue pour moi comme un frère.
Je respectais énormément l’ancienne religion et idolâtrait la déesse qui pour moi était un modèle de femme. J’étais encore « pure » à cette époque et ne voyais en eux que le reflet de mon beau père –que je ne portais pas forcément dans mon cœur- devenant un petit bout de femme féministe et avec un sacré caractère je me jurais de ne jamais me laissé avoir par un homme un jour. Qu’est-ce que je pouvais être naïve à cette époque !
J’avais beaucoup d’intérêt pour le dieu cornu. En ce sens je le le respectais autant que la déesse. Mais là je crois que je m’égare. Mes croyance sont certes resté les même, mais on quelque peu terni avec les années.
Quoi qu’il en soit durant quelques années je vécue dans une utopie que je n’aurais jamais crue possible. J’étais paisible et sage ce qui était étonnant pour une femme de mon tempérament. Mais visiblement possible. C’est là également que je rencontrais Lancelot le fils adoptif de Viviane qui devint une personne très importante pour moi mais également mon maitre d’arme. M’apprenant les maniements de l’épée notamment. Je lui aurais confié ma vie sans aucun mal car il avait alors gagné ma confiance et mon respect, mais sans vous mentir une petite place également dans mon cœur. Rien d’extravagant, j’étais comme ses petites filles qui rencontrent pour la première fois un homme avec qui elle noue une amitié et ce demande la différence entre celle-ci et la romance. Mais ce sentiment disparu aussi vite qu’il était apparu ne laissant de place que pour une grande amitié.
Partie 2 : Camelot.Je suis fille d’Ygraine et de Gorlois, duc de Cornouaille. Demi-sœur du roi Arthur. Je ne suis pas arrivée seule dans ce monde, J’ai eu une grande soeur, une meilleure amie qui m’as accompagné sur les chemins de la vie, Morgause, mais est décédée il y a quelques années. Sa tombe repose non loin du domaine de mon enfance. J’y suis parfois allé m’y recueillir et j’aime croire parfois qu’elle vie en moi.
Nous sommes trois filles enfant de ce couple royal à avoir grandis en demoiselle de bonne famille. La vie aurais d’ailleurs pu être sans doute d’une certaine utopie encore longtemps si cet homme sanguinaire et égoïste n’avais pas tué mon père pour épousée ma mère de qui il était tombé éperdument amoureux. Causant à notre famille milles souffrance que je ne saurais décrire. Notamment quand il prit l’apparence de mon père pour avoir ma mère dans ses draps pendant que celui-ci se faisait massacrée par les troupes de ce rois ignoble. Mon père nous fis juré à mes sœurs et moi de le venger, je n’y manquai pas et promis de le venger d’Uther et tous ses descendant.
Ma seconde sœur Elaine fus éloignée par Uther avant que j’eus la maturité d’apprendre à la connaître pour autre choses que notre même appartenance sanguine, ne recevant pas la même éducation que Morgause et moi. Je n’ai donc jamais vraiment été proche d’elle. En effet je fus envoyée à Avalon sous le couvert de Viviane, pour faire mon éducation toute enfance. J’y ai étudié les arts de la magie et les pratiques de l’ancienne religion. Formation que j’ai pu parfaire avec Merlin lui-même des années après. Morgause suivais le même chemin que moi, mais nos années d’écart ne nous permis pas de vivre la même vie, elle était promise au trône quand je devais devenir grande prêtresse de l’ancienne religion.
Séparé lors de sa naissance du reste de notre famille, Arthur et moi nous somme retrouver en tant que jeune adulte. Mon frère était alors déjà rois de sa contré en possession d’Excalibur. Viviane l’avais, plusieurs année auparavant confié à Merlin qui lui-même c’est assurée de la remettre entre les mains d’Arthur par le biais d’un enchantement très puissant.
Nous avons pensant longtemps renoué des relations fraternel, je faisait le lien entre Avalon et Camelot, mettant mes talent de magicienne et guérisseuse au service de ses chevalier.
Lors d’une de ses guerre il ne voulut pas de moi à ses coté, mais à qui croyais-t-il avoir affaire ? Je n’étais pas femme à rester en arrière espérant tous les soirs en regardant par la fenêtre le voir revenir, un mouchoir sous le nez à reniflé comme une désespéré.
Non je l’avais suivis contre sont grès, après tout je n’étais pas mauvaise cavalière. Là-bas je su me rendre utile sans même qu’il ne remarque encore ma présence. Ma magie me servit à guérir ses blessés, mes potions à soulager leurs souffrances.
Mais combien de temps le manège allait-il durée avant qu’il ne se rende compte de ma présence ? Pas très longtemps en réalité. Il amena Lancelot blessé sous la tente ou j'opérais. Évidement je n’échappai pas à ses remontrance, il jouait son rôle de frère à merveille et savais que je ne savais aussi bien faire la vaisselle que coudre, c’est-à-dire pas du tout. Mais je su lui prouver que je pouvais me montrer utile. Gagnant peut être quelque part son respect. Je ne manquais pas de courage quand il s’agissait de mettre ma vie en danger pour ce en quoi je croyais. Et je croyais en mon frère.
De ce jour où je sauvai la vie d’un de ses chevalier et ami, Arthur ne m’interdis plus de le suivre sur le champ de bataille, à la condition bien sûr de rester en retrait et de ne pas le gênée ce qui me semblais équitable.
Je rencontrais de nombreux chevalier tous plus courageux les uns que les autres et ne cessais de tenté de sauvé leurs vie au dépend de mon propre repos, sans compter mes neveux fils de Morgause qui rejoignais peu à peu les rangs de Camelot. Le chevalier qui m’as le plus marquer je crois avait une apparence humaine. Mais je détectais en lui autre chose. Une magie si puissante qu’elle m’effrayait presque. Quand je le trouvais j’étais sûr qu’il était mort. Il ne respirait plus, n’avais plus de pou et aucun de mes sortilège n’avais pu fonctionner pour le réveiller.
J’étais partie signaler son décès aux camps, demander un renfort à quelques hommes pour le soulever ce dont je n’étais pas capable. Quel stupéfaction ce fus de le voir entré dans la tente peu après moi. Je n’en revins pas et su que quelque chose clochais, que ce n’étais pas humainement possible. On me dit que je devais manquer de repos et me consigna au lis. J’étais sur de ce que j’avais vu pourtant et n’en démordais pas…
Ma vie à Camelot semblais jusque-là celle que j’avais imaginée, ni en mieux ni en pire. Je parvenais à avoir ce à quoi j’aspirais avant de m’y rendre. Avec la protection de mon frère en prime. Je ne l’accompagnais pas systématiquement pour jouer les guérisseuses bien sûr, il ne l’acceptait pas toujours. Et à ses période là je m’attelais à communiquer avec la nature et la déesse.
Le jour qui chamboula d’ailleurs le plus mon existence dans ce monde était d’ailleurs l’un de ceux où je m’étais missionnée pour une ballade dans la forêt de Brocéliande à la rechercher de quelques herbe dont j’aurais l’utilité.
En chemin je fis une rencontre qui transforma complètement ma conception de la vie, bien qu’à l’époque je n’en eu pas conscience évidement. Il était écuyer à la cour de mon frère et aspirais à devenir un des chevaliers de la table ronde. De deux ans –âge de ce monde – mon aînée notre première rencontre ne fus pas des plus courtoise. Mon caractère à tendance hautain jurait affreusement avec son orgueil masculin.
Six mois durant nous avons joué, nous sommes tournée autour et avons finis par devenir plus encore que des partenaires de jeux et défis stupide, nous sommes tombées amoureux. Je voyais naître en mon cœur ce sentiment que jamais jusque-là je n’avais connu. Le gardant bien précieusement pour moi, ne voulant pas subir les réprimandes. J’avais fait le choix il y a longtemps de respecter les désirs de la déesse et donc renoncé au plaisir de la chair pour exercer ma magie.
Mais encore six moi et je perdais tout ce qu’il y avait de plus pur en moi au bénéfice de quelque chose de bien plus fort. Il avait capturé mon corps aussi bien que mon cœur et j’étais sienne. Nous avons vécue quelques temps une idylle comme jamais je n’aurais cru vivre un jour. Moi qui me clamais féministe, amazone des temps moderne je me retrouvais sur les fesses à ne vouloir que lui. Je voulais son bonheur. Je voulais que l’on fonde un foyer, que l’on ait des enfants et la vie que nous méritions.
Mais c’était sans avoir conscience que ses parents n’accepteraient pas notre union. Ce qui suis-je l’appris peu avant de quitté Camelot par des bruit de couloir, Gwilherm ne sut jamais que je l’avais appris. Mais il avait défié son père voulant aller voir mon frère le roi, seul homme de même sang que moi encore en vie. Il voulut aller lui demander ma main. Mais non, sa famille en avait décidé autrement.
Il était hors de question pour eux que leurs fils épousent la jeune sœur du roi –qui de surcroît était une batârde- la sorcière Morgane. Il valait mieux que ça. Il lui fallait une femme pas un monstre pourris de magie. Voilà leurs mots exacts. Le début de la fin avait sonné pour notre relation ce conjuguant parfaitement avec la suite de mon récit.
Il m’était devenu de plus en plus difficile de cacher mon amour pour cet écuyer. Ajouter à cela la nouvelle de ma sœur qui décéda d’une longue maladie rare et mon cœur était brisée. Je m’enfermai une semaine dans mes appartements, passant une bonne partie de mon temps à rêver, comme hanté par le souvenir de Morgause.
Quand j’en ressortis je n’étais plus exactement la même. J’aimais toujours Gwilherm en mon fort intérieur, mais un nouveau désir était né en mon cœur. Celui de devenir reine. Je voulais accomplir le rêve de ma défunte sœur. Bien sûr Arthur n’accepterais jamais de l’épousée, moi sa sœur. Alors comment accéder le plus simplement du monde au trône ?
Lors d’un soir de banquet je glissais dans son verre et le mien quelques drogue, mélange subtil d’aphrodisiaque, d’herbe hallucinogène et de potion de fertilité. De fil en aiguille la liqueur ajouter à ma potion fis son petit effet et au milieu de la nuit je me trouvais à le ramener dans sa chambre soul et délirant. Mon plan fonctionnait à la perfection.
Je le déshabillai avec soin pour le mettre à l’aise quand nos délires respectifs commencèrent. Je ne voyais en lui que l’être aimé, jamais je ne sus pour qui il m’avait pris cette nuit-là. Mais dans tous les cas le mal fus fait et quelques semaines plus tard j’appris la grossesse que j’attendais avec ferveur.
Je fis croire à Gwilherm que en mon sein grandissais son fils, nouvelle qu’il recevait avec grande joie. Je décidais de ne rien dire sur l’identité du véritable père de mon fils qui naquit neuf mois plus tard. Mon frère était devenue oncle et moi mère et c’était très bien comme cela pour le moment car pour faire accéder mon fils Mordred au trône je devais parfaire son éducation dès le plus jeune âge sans que son âme ne soit salit par d’autres idées que les miennes.
La nouvelle était tombé mon frère allais ce marié ! Peut-être sa nouvelle femme et moi pourrions-nous nous entendre ? J’avais hâte de me voir devenir tante. Je me rappelle à cette époque avoir été si heureuse pour mon frère, il avait trouvé une femme à aimer. Et pas des moindre puisque d’après ce qu’on en disait c’était l’une des plus belle femmes de Bretagne.
Mais comme on le sait la vie n’est pas un long fleuve tranquille, aussi un désaccord éclata entre lui et moi lorsque sa chère épouse et moi-même avons avoué nos différent. Mon frère choisit de supporté la cause de son épouse plutôt que celle de sa propre sœur. Cette garce me fit exilée du royaume. Ce que jamais je ne lui pardonnai.
Partie 3 : L’exil.A ce moment de ma vie, maintenant sans famille. Et ennemie du roi Arthur et de toute sa clique. Je m’en retournais vers mon mentor, rageuse ma colère était telle que je vouais couler son royaume et le mener à sa perte.
C’est à ce moment-là que je prêtai allégeance à Viviane qui calma quelque temps mes ardeur et apaisa ma colère, ma loyauté en dépit de sa disparition n’a pas disparue même au cours des années qui se sont écoulé. Lors de mon retour à ses coté, Viviane m’appris les ficelle d’une magie que je m’étais jusque-là refusé d’apprendre, une magie plus noir plus dangereuse mais aussi plus puissante.
Trois année durant je ne fis qu’apprendre et me formé auprès de celle qui était devenue comme ma famille, une grande sœur, une seconde mère.
Second coup dur pour moi, Viviane ce fit prendre au piège par Merlin qui l’enferma dans cette même foret, prêt de ce même lac qui avait toujours été sa demeure. En croisade cette semaine-là je crois que mon plus grand regret fut de ne pas avoir pu lui porter main forte.
Partie 4 : Livré à moi-même.Viviane étant maintenant hors de ma portée je me retrouvais une fois de plus livré à moi-même, ruminant ma vengeance. J’ai quitté le royaume de l’est, voyageant une année durant j’y ai rencontré de nombreuses personnes et appris beaucoup. Devenant plus débrouillarde et moins dépendante de l’autorité.
Je sais, vous vous dite que tout ce que je vous ai raconté là n’est qu’un pâle résumé de toutes ses années, oui je vous l’accorde je ne me suis pas attardé sur les détails, mais bon, si vous voulez les connaitre, ce n’est pas comme ça que vous allez les obtenir. Je ne m’attarderais pas plus que cela sur mon passé, pas avec vous, pas aujourd’hui et certainement pas pour votre curiosité ma placé ! Dite vous au moins que maintenant vous savez qui je suis et d’où je viens.
Mes Cupcake vous ont plus ? Non ? C’est normale sa fait 28 ans qu’il traine dans mon placard… Oups… ? APRES LA MALEDICTION
Chère journal, Je ne sais plus vraiment qui je suis. Je me perds en ce moment dans le fils de mes réflexions. Dans le fond je me sens toujours la même, rien à vraiment changer, je suis toujours Gwendolyne. Et pourtant, pourtant tout ce qui m’entoure me semble à présent très différent de ce que mon monde a pu être.
Je ne sais pas encore si c’est un bien ou un mal. Je n’ai pas forcément un bon pressentiment quant à mon avenir ici, à Storybrooke. Tous ses souvenirs qui me sont revenue telle une gifle que l’on m’aurait collée en pleine poire m’embrouillent. Et j’en suis venue à perdre ma propre identité. Qui suis-je ? Gwendolyne ou Morgane ? Je ne sais plus vraiment. J’ai l’impression qu’on a fondu une vie antérieure à celle que je vis à présent.
Le souci c’est que ses deux vies, ses deux personne sont si différente qu’elle en vienne à se battre. Regarde moi j’écris comme une schizophrène, preuve que quelque chose ne tourne pas rond dans mon crâne de piaf. Les autres eux ne semble pas être perdu depuis que le voile est levée. Suis-je si bizarre que ça de me questionner ainsi ?Partie 1 : Petite fille à son papa, Jeune fille ingrateJe suis à l’origine une petite fille tout ce qu’il y a de plus banale. Fille d’un homme aux finances relativement aisée j’ai connu ma première perte alors que je voyais à peine le jour. Ma mère étant décéder en me donnant la vie. Je ne l’ai jamais connue. Et pour pallier à ce manque mon père reporta toute son affection sur moi. Je devins sa pupille, celle à qui il donnait tout. La seule femme de sa vie. Jamais je n’ai vu mon père avoir d’attrait pour une femme quel qu’elle soit. Tu comprendras donc que je suis fille unique cher journal. Je n’ai jamais eu le plaisir de partager mes soirées avec un frère et une sœur. Mais cela ne m’a pas déranger outre mesure. J’étais la reine de mon univers et à la maison tout tournais autour de moi.
J’ai rencontré ma première amie en maternelle, elle était blonde, timide et me suivais partout à l’époque. D’ailleurs nous ne nous sommes pas quittés depuis. Elle est restée avec moi tout au long de ma vie et me connais aussi bien que je la connais. C’est-à-dire par cœur. Jusqu’à la primaire et même une bonne partie du collège tout allais bien, j’étais certes capricieuse et je voulais toujours tout contrôler. Mais dans le fond je restais une petite fille agréable à vivre et pleine de joie.
Mais comme on le sait tous, toute bonne chose à une fin. Et je peux te dire que du moment où je suis entré dans l’adolescence mon père en a vue des vertes et des pas mur. J’ai commencé à fumée le jour de mes quinze ans, la drogue un an plus tard (douce évidement) par contre les mecs… c’est venue bien après. A ce niveau-là je n’ai cessé de les envoyées boulées. Jusqu’à ce que je tombe suis lui, lui je t’en parlerais après, je n’ai eu que des petites amourettes sans fond. Je n’étais pas le genre à tomber amoureuse. Trop égoïste pour partager mon existence avec qui que ce soit d’autre. Dans chacune des étapes de ma vie j’entrainais Kendra. Nous étions inséparables.
Partie 2 : Les 400 coupsKendra et moi en avons fait des conneries pendant notre adolescence. Je ne sais pas comment elle faisait pour rester bonne élève alors que je l’entrainais dans ma décadence grandissante. Les études étaient bien le cadet de mes soucis. A ma collection de mauvaise notre ça ne pouvait que ce voir d’ailleurs. Ce n’est pas que je manquais de capacité intellectuelle, c’est juste que je la réservais pour l’imagination débordante que j’avais pour toutes conneries qui sortais de mon petit esprit tordu.
Entre les joints de marijuana et l’alcool que nous ingurgitions nous avons donné bien du fil à retordre autant à nos parents qu’au Shérif. De chier devant le commissariat en pleine nuit à dégrader les parcs publique en faisant des feu de camp en passant par ce baigner nue lorsque la nuit battais son plein tout y es passé. Je n’avais honte de rien et n’avais peur d’aucuns défis. D’ailleurs j’ai fait ma première garde à vue à seize ans. De là le commissariat est presque devenue ma seconde maison. Mais je m’en foutais j’étais complètement inconsciente. Tout ce qui m’importait c’était la fête, la nuit et les plaisirs que m’apportais l’ivresse.
Je ne respectais plus rien, si ce n’est ma relation fusionnelle avec ma Kendy. Mais celle à qui je manquais le plus de respect c’était moi-même. Je ne semblais à cette époque n’avoir aucun amour propre. Et dans le fond ce n’étais peut être pas si faux que cela. Mon père a cru devenir fou et à juste raison. Je passais plus de temps avec une bande de dégénéré à fumer et boire plus que de raison qu’à étudier. Je me demande même comment j’ai pu survivre, je dois vraiment avoir un foie de compétition. Il faudrait que je demande un jour à un médecin de regarder l’état de mes poumons et de … tous mes organes vitaux en fait. C’est d’ailleurs vers mes seize ans, âge de l’apogée de toutes mes conneries qu’il est apparue dans ma vie. Au départ ce n’étais qu’un pote de soirée, au départ rien ne semblais laisser entrevoir la suite des événements.
Partie 3 : Un amour mortelIl était plus âgé que moi. Il était beau. Il avait ce côté sombre qui m’attirais indéniablement. Mais par fierté jamais je ne lui aurais dit. Jamais je ne lui aurais laissé voir ses petits regards que je lui adressais quand nous passions des soirées ensemble. Non je me voulais sauvage.
Les premières semaines je passais mon temps à le repoussé, j’avais un sale caractère ce n’étais pas nouveau. Et je pouvais aussi bien être un ange qu’un vrai démon. J’étais avec lui comme ses petites filles de maternelle qui embête constamment le garçon qu’elle aime pour attirer son attention. Sans le savoir un piège ce refermais sur moi. Et de toute façon quand je m’en suis rendu compte il était bien trop tard pour que je puisse faire quoi que ce soit. Je l’ai connue doux, sociable il était abordable. Mais ce comportais avec moi comme si j’étais une petite fille ingrate à qui il faudrait apprendre la vie. Et cela m’insupportais.
Mon premier baisée d’amour, celui que l’on reçoit et qui vous coupe le souffle tant votre cœur s’emballe dans une marche effrénée, vous fait rosir les joue et pétillé le regard, ce premier baisée vins de lui. Nous étions une fois de plus en soirée de débauche, mais cette fois si j’avais bien trop poussée le vice à voir cette pouf lui grimpé sur les genoux. Alors en plus d’être mesquine j’avais enquillé jusqu’à ne plus tenir sur mes converse. Il m’avait raccompagné chez moi, me portant tel une princesse avec une délicatesse que je ne lui connaissais pas. Nous nous étions regardées dans le blanc des yeux pendant une bonne minute quand il m’a déposée avant que je finis par détournée le regard prenant le chemin de ma porte. Mais il ne me laissa pas partir, me saisissant par le poignet il m’amena à lui et… et la suite j’eu mes premier raté cardiaque ? Je sais ça fait tellement clicher. Pourtant c’est vraiment ce qu’il s’est passé.
De là nous ne nous sommes plus quitté. Kendra vécue sa première jalousie à devoir me partager avec celui qui fus mon premier amour. Je me rappelle avoir passé des semaines entières chez lui à ne vivre que d’amour, d’eau fraiche et de Lucky Strike tandis que tout notre entourage nous croyait disparue. Nos rencarts ? Quelques film de tout horizon, des sachets de beuh à cinquante balle et … et l’union de nos chair qui semblais être faite pour s’unir l’unes à l’autre dans de douce étreinte.
Ne va pas croire qu’il eut mon défleurage facilement, non je connaissais sa réputation, je le savais coureur, je le savais dangereux pour mon petit cœur fragile. Mais j’ai finis par céder au bout de deux mois, ce qui me semble une bonne moyenne tout de même.
L’amour reste cependant une salope qui vous prend par surprise et sans rien annoncer vous détruit jusqu’au plus profond de votre être ne laissant rien d’autre en vous qu’un trou béant dans votre poitrine. J’eu l’occasion dans les derniers mois de notre relation de le comprendre. Steven et moi étions devenue fou à force d’amour et notre relation commençai à ce dégradée du moment où dans l’équation vins d’ajouter d’autres pièces. Je ne sais pas ce qui était le plus dangereux, nous ou les autres ? Dans tous les cas la lune de miel était terminée et nous entamions la nôtre descente au enfer commune.
Nous avons peu à peu recommencé à sortir et à nous mélanger au monde extérieur, sans anticipée que ce serais cela qui ferais explosée notre couple. Nous sommes retombés dans nos vices communs, l’alcool, la fête, la drogue. Allant même jusqu’à baisée publiquement sur les bancs du Rabbit Whole. Puis vins les disputes, les désaccords et la violence. Et ce jusqu’à l’overdose. L’overdose de tout, des autres, de la boisson, des substances illicite et même de nous.
Le soir de notre rupture je l’ai retrouvé ivre mort, j’ai cru moi-même mourir tant son état était critique. Je crois ne jamais avoir vécue pareil souffrance. Moi qui aurais donné ma vie pour lui je l’avais tué à petit feu sans même m’en rendre compte, tout comme lui m’avais détruit. Ce soir-là j‘appelais les pompiers anonymement. Et plus jamais il n’entendit parler de moi. Plus jamais je ne lui décrochai un regard. Plus jamais nous ne nous sommes adressé la parole.
Je crois qu’il avait compris comme moi que nous ne nous mènerions à rien. Notre idylle avait durée une année, une année magique que jamais je n’oublierais. J’avais dix-sept ans révolus. Et j’avais déjà vécue tout ce que j’avais à vivre. C’était fini. Je pense que si je n’avais pas eu Kendra à ce moment-là, prête à me ramassé à la louche, je ne serais pas là à coucher mon histoire sur les pages blanche qui te compose mon chère journal. Car jamais je ne me serais cru capable d’aimer à nouveau. Mais qu’est-ce que la vie sans amour ?
Partie 4 : The Rabbit WoleA un âge incertain ou la vie n’a pas encore son sens et ou toutes personne passe par la recherche d’identité, je faisais la connaissance d’un endroit qui allais très vite devenir mon repère. Mon échappatoire. Egoïstement je ne partageais pas ce secret avec ma meilleure amie. Je voulu le garder pour moi.
Il faut dire que la rupture avec Steven et toute l’histoire que l’on avait partagé m’avais quelque peu changé. Et pas forcément de la meilleure manière qu’il soit. J’avais toujours été d’un sacré caractère sans parler de mon impulsivité. Mais à tout cela vins s’ajouter un penchant grandissant pour la provocation et un mépris pour la gente masculine pour laquelle je n’avais plus aucun respect.
Plus aucun ? Ce n’étais pas tout à fait vraie, j’avais trouvé en le patron de ce trou à rat un modèle à suivre. J’aimais ses côté sombre et il m’inspirait. Je voulais lui ressembler et adopter la même philosophie de vie. Ainsi très vite je devins une jeune fille hautaine, jouant de ses charmes pour faire baver les hommes de tout âge sans jamais pour autant les laisser m’approcher et fondre ma carapace.
Ma fierté grandissante en parfaite fusion avec un orgueil surdimensionnée fis de moi une boule de nerf constamment dans le besoin d’activité. Je me trouvais une passion dans l’art du pôle danse que je pratiquais avec ferveur en toute illégalité dans ce bar ou je m’étais construite une seconde famille. Le propriétaire devenant comme un grand frère pour moi.
Bien sûr j’eu quelques aventures mais qui ce terminais le matin venue. Je devenais très sélective avec les hommes et n’hésitais pas à jouer avec leurs amours propres. Sans forcément coucher avec. Car au final très peu d’entre eux eurent l’occasion de me mettre dans leurs draps –ceci étant une image car aucun garçon ne fus autorisée à passer mon pallier- j’étais très difficile dans mes choix et avait besoin de plus qu’une bel gueule pour me laisser aller au plaisir charnel.
Je finis tout de même par revenir vers ma Kendra qui souffrait pendant plusieurs mois de mon éloignement. Elle n’était pas fautive de ce qu’il m’était arrivée. Je crois que dans le fond j’avais tellement peur de souffrir encore que je l’avais éloigné pour ne pas que ça arrive. Mais comme deux aimants je ne pouvais pas rester éloigner d’elle. Elle était mon seul point de chute dans ce monde qui me bouffait peu à peu. J’étais une éternelle insatisfaite constamment à la recherche de plus.
Peu à peu les pièces du puzzle qu’étais la femme que j’allais devenir s’emboitais, et j’entrevoyais l’avenir que e voulais me construire. J’arrivais à faire taire toutes mauvaises pensé et me concentrais sur mes projets d’avenir. J’arrêtais mes études qui de toutes façon n’avançais à rien puisque je n’avais jamais été de celle qui son intéressé par les bancs de l’école et laissais Kendra seule à l’université. Elle ne tarda pas à me suivre. Je crois vraiment que j’ai une mauvaise influence sur elle.
Partie 5 : Mon propre rêveLes années et les jours passé à travailler pour Jordan m’avais aidé à me trouver, à définir la personne que j’étais et ce que je voulais faire de ma vie. Aussi à peine arrivée à l’âge de la majorité je lançais papa dans mon nouveau projet, je voulais avoir mon propre bar, ma boite de nuit. Mais sans pour autant faire de l’ombre à celui qui avait été mon mentor. J’avais bien trop de respect pour Jordan pour lui manquer de respect au point de cracher sur le Rabbit Whole, et je ne comptais pas arrêter de danser et servir des cocktails chez lui en prenant mon envole.
Six mois plus tard le Seven’S Star Night ouvrais ses portes, évidement j’avais embarqué ma meilleure amie dans mon aventure. Fidèle au poste elle c’était de suite investit dans mon projet. En parallèle une nouvelle venue s’installait en ville, ce qui n’était jamais arrivée de mon vivant d’ailleurs. Elle devint le nouveau shérif et par conséquent ma nouvelle… meilleure amie si je puis dire ? Vue le nombre de soirée que j’ai pu passer en cellule de dégrisement à lui déblatéré des conneries plus grosses que moi.
J’ai passé je ne sais combien de soirée à lui dire que je voulais partir à l’aventure et quitté cette ville merdique du Maine, vivre ma propre vie et prendre mon envole. Pourvoir enfin entrevoir la possibilité que mes rêves de gloires et de fortune ce réalise. La pauvre à du avoir les oreilles en sang à force de subir mes bavardage incessant. Cela ne m’étonne pas qu’elle m’a parfois libéré avant que mon temps ne se soit évolué derrière les barreaux froids de la cellule glauque ou elle m’enfermait pour exhibitionnisme ou ébriété sur la voie publique !
Partie 6 : Répète un peu ça ?!La vie est une salope qui aime ce délecter de sa propre ironie en nous rappelant les surprises qu’elles peut nous imposer. Jouissant en jumelage avec le destin d’une douce pointe de folie qui peut très vite écrouer tout votre monde en quelques instants…
Et le miens en l’espace de vingt-quatre petite heure bascula dans un enfer sans nom. On m’imposa le pire fléau, la pire torture que j’avais pu connaitre jusque-là. On me rendit ma mémoire, ma vie, mon identité. Pendant les trois jours qui suivirent personne n’eut de mes nouvelles. Personne ne sut ou me trouver. Je disparus le temps d’encaisser le choc. Ne répondant même plus au frappement de Kendra à ma porte trois fois par jour quand elle s’occupait d’une main de maitre de mon bar et de ma boite de nuit.
Après quelques jours d’enfermement, je fus aveuglé par la clarté du soleil quand furtivement j’allai prendre le volant de ma voiture. Je voulais rouler. Ou je ne savais pas, pourquoi faire ? C’était une bonne question. A laquelle je n’avais pas de réponses. Et je n’en cherchais pas en fait. J’agis sous le coup de l’impulsivité avec pour seul objectif de me vidé la tête.
A toute vitesse j’approchais de la frontière avant de freiner d’un coup sec. Je laissai tourner le moteur devant cette barrière invisible. Partir avait toujours été ce que j’avais voulu faire, prendre le large. Mais était-ce si simple ? N’étais-je pas lâche de vouloir fuir maintenant que je me souvenais ? Je coupais le contact et sorti rageusement de ma bagnole. Claquant la portière je clamais des jurons accompagnés de ma façon de penser du moment. J’en devenais presque hystérique. Mais quelle importance ? J’étais seule. Et maintenant qu’on allait ce souvenir, j’allais très certainement le rester. Ma plus grande peur c’était matérialisée sans que je ne puisse y faire quoi que ce soit.
C’est à ce moment-là que je le rencontrais pour la première fois, il était sorti de nulle part. Je ne l’avais jamais vue en ville. Et pourtant un garçon comme lui pour sûre m’aurais marqué. Je l’envoyais balader sans aucun remord quand il s’adressa à moi. L’imbécile me répondit non sans ironie. Je le toisais avec haine. De la s’en suivis un échange des plus singulier. Mais la fin n’en fut encore que plus choquante. Puisque ce soir-là quand je suis allé travailler, je l’avais embarqué avec moi.
N’essayons pas de comprendre ce que ce garçon m’avais fait, ou même le cheminement tordu qu’avais pris ma cervelle de piaf pour que finalement je lui propose un job comme barman avec moi. Il y avait dans notre relation une alchimie que je ne m’expliquais pas et que pourtant je n’avais pas vu venir.
Une semaine plus tard il emménageait avec moi, mais n’y vois pas la quelconque relation allant au-delà de l’amitié. Ce serait ce fourvoyé. Bien que je ne puisse pas nier une attirance physique grandissante mon cœur à bien trop connue de déception et de blessure –encore sanglante au jour d’aujourd’hui- pour s’ouvrir une nouvelle fois.
Je décidais suite à tout cela de mener ma vie tel qu’elle était ici, dans ce monde essayant de faire abstraction de « Morgane », j’étais alors une utopiste idiote qui vivait un rêve éveillé et ne s’en rendais même pas compte. Mais ça n’allais pas durée.
Partie 7 : On est pas dans la m*rdeJe n’eus pas d’autre choix que de faire face à ses changements. Le souci c’est que déjà avant la malédiction j’étais limite bipolaire, maintenant j’avais carrément tourné à la schizophrénie. Une partie de moi ne voulait qu’une chose, resté bien tranquillement dans le confort qu’offrais la vie de Gwendolyne. Mais l’autre partie de mon être repris son obsession pour le pouvoir et la magie.
C’est ainsi que je finis par réaliser ce que j’avais commencé à entreprendre il y a vingt-huit ans, je passais un contrat avec le ténébreux et devins à la fois son appentis, bras droit et esclave. De toute façon l’un dans l’autre je n’avais pas d’autre choix que de me pliée à la moindre de ses requête et ce jusqu’à ce que Monsieur décide que j’avais terminé ma formation à ses coté. Ce qui connaissant le personnage pouvais vraiment prendre du temps.
Mais cela ne me dérangeais pas outre mesure, je me rendis compte peu à peu, et surtout en revoyant mon frère, que mes rêves, mes objectif ou tout simplement moi, oui moi j’avais changé. Cette fausse vie m’avait renvoyé à mes premiers rêves, mes premiers objectifs et dans le fond avait apaisée toute cette haine qui sommeillait en moi.
Pour autant je dois t’avouer chère journal ne pas toujours me contrôler. J’ai ses moments d’impulsivité, de la folie passagère ou je ne sais pas. Mais dès lors elle reprend le pas, cette Morgane sanglante et destructrice. Je me voie sadique, et pire je me surprends à aimer cela. Que ce soit par la luxure, l’avarice ou encore l’orgueil mes pêchées sont encore bien présent dans ma vie. Comme l’autre jour quand j’ai couché avec ce parfait inconnu dans les vestiaires.
Remarque cette fois-là c’était singulier, je me cache derrière l’alcool mais ce devais être autre chose. Mais pour le coup je ne me souviens vraiment pas de ce qui a pu ce passé après… enfin je ne vais pas faire de dessin.
L’avantage d’avoir pu retrouver tous mes pouvoirs grâce à un sortilèges d’une magie très subtile, sans compter mes nouvelles capacité, c’est que dans ce bordel qu’est devenue Storybrooke je sais que j’ai les armes pour me défendre, ou simplement menée ma route comme je l’entend sans plus laisser d’autre décidée pour moi. Du moins je l’espère.
Bon mon très cher journal je vais te laisser je dois me préparer, Emma nous à conviée moi et quelque autres à une réunion nocturne sur le pont des Troll. Je me demande bien ce qu’elle veut ? Je n’ai planté aucune voiture pourtant cette semaine. Enfin je ne crois pas. On verra bien. De toute façon tu le seras demain.
28 ans, sa fait une sacré période dans la peau de quelqu’un d’autre non ? Pour moi, je ne les ai pas vue passé, non franchement. Connue dans cette petite ville pourris comme la junkie de service on m’y à vue évoluer, provocatrice j’ai eu de nombreuse aventure sans lendemain.
Mon salle caractère fait que j’ai peu d’amis, voir même pas du tout car je suis très dur à approcher. Je vis avec ce que je croyais être mon père, le gérant d’un bar boite de nuit ou je suis barman. J’avais pour ambition de quitter cette ville merdique et d’allé à Los Angeles vivre une vie de star. Car oui ma passion à moi c’est la musique, le chant surtout. Mais mon seul publique sont des jeunes de trouduculville ou je suis qui m’écoute à penne et remarque plus mes tenue provocante que mes performance.
Quand je bois je ne sais pas m’arrêter, alors j’ai mauvaise réputation. Quand je fume je balance ma fumé au visage des autres. Et mon orgueil fait de moi une jeune adulte pourris gâtée, capricieuse et égocentrique.
J’aime quand même mon boulot de barman, je vis la nuit et dors le jour. Ca me convient. C’est ce que j’aime.
Pendant ses 28 ans, les gens se souviennent surtout de moi pour mes frasques, mes conneries. Comme être allée faire mes besoins devant le bureau du shériff, ou encore avoir taguée sur les murs de la ville. Des résultats scolaires catastrophiques à la FAC, un absentéisme grandissant et un mépris de l’autorité.
Je me fiche des autres et de ce qu’ils pensent de moi après tout, on pense que j’ai une mauvaise influence, ce n’est pas faux. Dans le fond je ne me suis jamais senti à ma place à Storybrooke. Mais la malédiction m’a frappée aussi, c’est la vie. Maintenant que je sais qui je suis, je vais tenter de me rapprocher de Rumplestilskin, ou Mr Gold comme vous voulez, car maintenant je me souviens de mon but.
Je n’ai pas retrouvé Viviane en ville, et pour le comble de l’ironie l’homme avec qui je vis et que je prenais pour mon père est son pire ennemie, Merlin. C’est sûr, ça fait un choc. Maintenant il va falloir s’adapter. Il faudra aussi que j’aille voir Regina pour lui en mettre une, elle aurait pu me laisser mes souvenirs, je suis dans son camp tout de même.
Je veux repartir chez moi et reprendre ma vie là où je l’ai laissé, sauf qu’apparemment chez moi c’est le bordel. Donc on va essayer de trouver des solutions et de repartir du bon pied.